Origine du culte de Notre-Dame d'Espérance:

Livret à imprimer pour déposer dans les églises

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« Ouvrez-vous à la prière afin que
 la prière soit un besoin pour vous.
»



"Je suis dans le
 Très Saint Rosaire"















Notre-Dame d'Espérance de Saint-Brieuc (2ème partie)



<<1ERE PARTIE:  Origines


2EME PARTIE:  Le Couronnement


>>3EME PARTIE: Les trois guerres et les trois voeux

>>4EME PARTIE:  Pèlerinages, Action Sociale

>>5EME PARTIE:  Les épreuves


 Le Couronnement
 


Mais il tardait au Directeur de l’Archiconfrérie d’aller porter ses hommages et la reconnaissance de ses Associés au Pape Pie IX dont la bienveillance, depuis la fondation de l’Archiconfrérie, s'était ouvertement manifestée par d’insignes faveurs. Après la Toussaint 1862, fort de l’appui de Mgr David, 
le chanoine Prud’homme prend son bâton de pélerin et part.

Paternellement accueilli par le Pape en trois audiences particulières, il reçoit des indulgences pour l’Archiconfrérie, des privilèges pour la chapelle, obtient l’affiliation à la basilique de Lorette, le privilège des Sept-Autels, le corps d’un martyr, saint René, un vase de son sang conservé au Quirinal et, suprême faveur, le Couronnement de la statue de Notre-Dame d’Espérance.

Sur le registre des Associés, Pie IX appose sa signature. Il étend à toutes les Nations les avantages de l’Association en recommandant de ne plus prier exclusivement pour la France, mais pour la Paix de tout l’Univers et laisse entendre au Général des Capucins qu’il serait heureux de lui voir consacrer dans son église de l’Immacolata Concezione, un autel à Notre-Dame d’Espérance.

Chargé de richesses spirituelles, le chanoine Prud’homme revient à Saint-Brieuc; il n’a plus qu’une seule pensée: le Couronnement.

En mars 1863 l’évêque de Saint-Brieuc reçoit le bref pontifical:

PIE IX PAPE

Vénérable Frère, Salut et Bénédiction apostolique. Nous n‘avons rien de plus à cœur que de procurer, autant que Nous le pouvons dans le Seigneur, tout ce qui contribue danantage à rehausser le culte de la três sainte Mère de Dieu, dans la confiance ou nous sommes que c’est surtout par son patronage que Dieu donnera de meilleurs temps à son Eglise.

Puis donc, Vénérable Frère, que vous Nous avez présenté requête à l‘effet de pouvoir en Notre nom décorer du diadème d’or une Image de la divine Mère, inaugurée dans une Eglise ou Oratoire public de votre ville de Saint-Brieuc sous le nom de Notre-Dame d'Espérance, et insigne par la piété des fidèles, Nous avons voulu bénignement obtempérer à des vœux qui tendent à une plus grande gloire de Dieu et de sa sainte Mère. 

...En conséquence, Vénérable Frère, Nous déléguons à Votre personne tout pouvoir par la teneur des présentes tout pouvoir d'imposer en Notre nom, la Couronne à l'Image sus-mentionnée de l'Immaculée Vierge Mère de Dieu.

Pour que d’ailleurs cette cérémonie et son souvenir deviennent aux fidèles un perpétuel secours pour leur salut éternel, Nous confiant en la miséricorde de Dieu Tout-Puissant, et en l'autorité de ses bienheureux Apôtres Piere et Paul, Nous accordons à tous fideles de l'un et l'autre sexe, qui vraiment pénitents, confessés, et refaits par la sainte Communion, visiteront dévotement la sudite Eglise ou Oratoire public, ensemble l'Image, le jour même du solennel Couronnement, et tous les ans, son jour anniversaire, ou l'un des sept jours immédiatement suivants, au choix de chacun des fidèles, et là répandront devant Dieu de pieuses prières pour la concorde des Princes chrétiens, l'extirpation des hérésies et l’exaltation de notre Mère, la sainte Eglise, et leur concédons miséricordieusement dans le Seigneur Indulgence Plénière et rémission dc tous les péchés; laquelle même pourra être appliquée par mode de suffrage aux âmes du Purgatoire.
Et ce, nonobstant toutes clauses contraires.
Donné à Rome, près Saint-Pierre sous l’Anneau du Pêcheur, le 13 mars 1863. De Notre Pontifical, la dix-septième année.

B. CARDINAL BARBERINI.

Et l'Evêque de Saint-Brieuc laisse éclater sa joie et l‘exprime en termes magnifiques au clergé et aux fidèles de son diocèse:

«Mais chacun de vous, N.T.C.F., comprend le sens de cet hommage symbolique. Il manifesta avec éclat, une fois de plus, cette piété bretonne qu’on ne contemple jamais sans une émotion profonde; il proclamera, une fois de plus, la douce royauté d’amour de Marie sur nous; il appellera, une fois de plus, sur l’Eglise qui combat et qui souffre, sur Pie IX dont nous ressentons toutes les douleurs, sur la France qui s‘est toujours glorifiée d'être le fief de Marie, reguum Galliæ regnum Mariæ, son regard qui éclaire, sa tendresse qui réchauffe, sa piété qui relève et pardonne. Nous confierons de nouveau à sa garde notre Diocèse, avec ses prêtres et ses fidèles. Sur cette humble couronne, nous déposerons, avec notre reconnaissance personnelle, les sentiments, les espérances de tous ceux qui ont prié, pleuré, reçu la grâce à ses pieds, et nous lui dirons avec le Prophète: Venez, ô Reine, ô Mère! Descendez au milieu de nous; prenez votre sceptre et votre couronne, et gouvernez avec nous les fils de Brieuc et de Tugdual: nos biens, nos âmes, notre vie, tout est à vous! Procede et regna!»

«Et nous, ô Marie, sur notre terre d’épreuve, jetés au fond de la vallée des larmes, à une distance infinie du ciel, oserions-nous reproduire une ombre de cette scène dont aucune splendeur mortelle ne peut donner l’idée? Notre main pourtant déposera sur votre Statue une couronne fragile, symbole de celle que Dieu à mise sur votre tête pour l’éternité. Mais quelque chose d’infini par l’ardeur du désir fera battre nos cœurs, en vous couronnant et en vous glorifiant; car chacun de nous vous offrons, au nom de Pie IX et de tous nos diocésains; elle est chargée de tout ce que la confiance et la piété peuvent y mettre d’amour et de dévouement! Veni, coronaberis! Quant à nous, qui avons reçu par la volonté de la Providence le soin de ce troupeau, qui est plus spécialement vôtre, nous résumerons notre désir, pour chacun de ceuæ qui assisteront à la fête, dans les paroles que l’Eglise mettra alors sur nos lèvres: Sicuti per manus nostras coronaris in terris, ità et à Christo gloriâ et honore coronari mereamur in cœlis, «de même que nos mains vous couronnent sur la terre, puissions-nous tous mériter d’être couronnés par Jésus-Christ dans le ciel.»

Le grand jour arrive: 30 juillet 1865.

C’est un dimanche: le ciel est limpide et le soleil radieux. Guirlandes, arcs de triomphe, drapeaux et étendards se mêlent dans la Ville en fête. A 8 heures, la statue de Notre-Dame portée à la Cathédrale, prend place au fond du chœur. Mgr David chante la grand-messe, Mgr Brossais-Saint-Marc, archevêque de Rennes, apporte à la blanche Madone le salut filial de la Bretagne.

La messe achevée, la statue est conduite et placée sur un reposoir élevé au centre de la place, Elle a peine à se frayer un chemin au milieu de la foule surpressée. Au milieu de l’attention générale et du chant des cloches, Mgr l’Archevêque de Rennes, sur la tête de la Sainte Vierge, et Mgr l’Evêque de Saint-Brieuc, sur la tête de l'Enfant-Jésus, posent les couronnes étincelanles.

Alors s‘élèvent les strophes du Magnificat; le gracieux et interminable cortège processionnel s’en va, cheminant, jusqu’au sanctuaire de Notre-Dame suivi de Mgr l‘Archevêque de Rennes, Mgr David, Mgr Plantier, évêque de Nîmes, Mgr Sohier, évêque de Hué (Cochinchine), Mgr Epivent, évêque d’Aire: il est deux heures après-midi.

Le soir, à la chapelle, dans la lumière, Mgr Plantier, l’un parmi les plus grands orateurs de l’époque, adresse un éloquent appel à la foi bretonne, qu’il a senti vibrer toute cette journée, pour qu’elle demeure et témoigne du Christ et de sa divine Mère.


LA CONSECRATION:

Bénite au lendemain de sa construction, l’église n‘a pas été consacrée; elle va recevoir cet honneur au pardon de 1898. Le chanoine Guillo Lohan, directeur de l’Archiconfrérie, à fait choix cette année d'un prédicateur de grand renom: Le R.P.Léon, l'une des gloires de l'Ordre des Frères Mineurs Capucins. Au fil des jours, sa forte parole forte et chaude, empoigne son auditoir chaque soir plus nombreux et débordant bien au delà du parvis. Avec Mgr Fallières, c’est toute une couronne d’évéques et de prélats: Mgr Carmené, archevêque d’Hièropolis; Mgr Kersuzan, évêque du Cap-Haïtien; Mgr Dubourg, évêque de Moulins; Mgr Chapon, évêque de Nice; Mgr Le Gall, évêque de Pogla (coudjuteur de Mgr Grandin, évêque de Saint-Albert, Canada), le R.P.dom Eugène, abbé de la Melleraye; le R.P. dom Bernard, abbé de Ty-Madeuc; Mgr Cocheril, protonotaire apostolique, doyen de Lamballe; Mgr Connan, protonotaire apostolique, vicaire général d‘Haïti, qui le 31 mai, dès 7 h. 1/2 du matin, dans le sanctuaire dépouillé de toutes décorations, suivent la procession des reliques et se partagent les sept autels rayonnants du déamhulatoire, pour l’accomplissement des rites de la consécration.

L’après-midi, aux vêpres présidées par Mgr Fallières, chantées par le Grand Séminaire et accompagnées aux orgues par le maître Charles Collin, titulaire des grandes orgues de la Cathédrale et le délicieux artiste Jules Guyet, organiste de Notre-Dame, un autre orateur aimé du public briochin, le chanoine Daniel, curé de Saint-Sauveur de Dinan, parlera.

Le soir la ville s’illuminera et la procession aux flambeaux, par dérogation à la tradition, développera ses méandres lumineux le 1er juin.
 



 
L’ERECTION EN BASILIQUE:

Directeurs de pélerinages, les Directeurs de l’Archiconfrérie sont également de vrais et authentiques pélerins.

Après avoir réalisé les projets de son oncle vénéré, le chanoine Prud’homme: l’inauguration solennelle, le 24 juin 1886, du maître-autel - véritable œuvre d’art de marbre et de bronze, sortie des ateliers Jabouin de Bordeaux - la pose dans les enfeus, des deux côtés du portail, de deux groupes; la Descente de Croix et la Mise au Tombeau; la décoration des chapelles et la consécration de l’église, le chanoine Guillo Lohan se rend à Rome, en octobre 1902. Il est porteur d’une supplique de Mgr Fallières, appuyée des signatures de Mgr Carmené, Mgr Chapon, Mgr Le Roy, Mgr Potron, du R.P. Père Abbé de Ty-Madeuc, demandant à Sa Sainteté de vouloir bien décerner le titre de basilique mineure à l’église de Notre-Dame d’Espérahce. Le Pape Léon XIII lui témoigne toute sa sollicitude et agréée la demande exposée qu’il renouvelle, en ces termes contenus dans le bref d’érection:

LEON XIII PAPE
POUR PERPETUELLE MÉMOIRE

Après avoir sérieusement et attentivement pesé la valeur de cette demande, Nous avons crus devoir l’agréer avec bienveillance. C’est pourquoi, à raison de cette faveur, Nous absolvons et Nous regardons comme devant être absous de toute excommunication, interdit, autres sentences, censures et peines ecclésiastiques qu'is auraient pus encourir, tous et chacun de ceux qui bénéficient des présentes lettres et en vertu de notre autorité apostolique et par les présentes lettres Nous élevons l’église existant à Saint-Brieuc sous le titre de la bienheureuse Vierge Marie, Notre-Dame d’Espérance, à la dignité de Basilique Mineure et Nous lui accordons tous les privilèges et honneurs concédés de droit aux Basiliques Mineures de la ville de Rome. Nous déclarons que les présentes Lettres sont fermes, valides et efficaces et devront être considérées comme telles; elles auront leur plein et entier effet; elles profiteront absolument en tout et pour tout à ceux qu’elles concernent et qu'elles concerneront, en quelque temps que ce soit; elles doivent être publiées et communiquées telles que Nous venons de les formuler quelle que soit la voie ordinaire ou déléguée par laquelle elles parviendront. Tout ce qui sera entrepris sciemment ou par ignorance contre les présentes, par quelque autorité que ce soit, sera nul et sans portée. Nonobstant toute décision contraire.

Donné à Rome, près de Saint-Pierre, sous l’anneau du Pêcheur, le vingtième jour de décembre de l’année 1902, la 25° de notre Pontificat.

ALOYSIUS, Cardinal MACCHI.

La date choisie est le 1er juin 1903, au lendemain du Pardon. Des traînées de cire chaude, des bouffées d’encens flottent encore dans l’atmosphère de l’église lorsque Mgr Morice. évêque des Cayes, en présence de Mgr Fallières. de Mgr Carmené et d’une foule considérable, chante la grand-messe pontificale. Avec l‘exacte fidélité liturgique, M.l’abbé Haracouët (futur évêque de Chartres), règle les cérémonies. Après lecture du bref pontifical par M.le chanoine Henri Gadiou. secrétaire général de l’Evêché, le chamoine de la Villerabel, vicaire général honoraire, trace une magistrale page d’histoire locale dans laquelle, faisant allusion aux événements de 1848, à la primitive chapelle et à la fondation de l’Archiconfrérie, il s’écrie:

...Dans ces jours d’angoisse, en face d’un avenir tremblant, les meilleurs esprits s’inquiétaient, bien qu’un réveil religieux coincidât en ces temps agités, avec l’apparition d’idées nouvelles et inexpérimentées. A cette démocratie française incertaine de ses voies et hésitante dans sa marche, il fallait quelques clartés sur l’avenir: un raÿon du ciel projeta ses clartés sur les temps qui venaient, ce fut la. Vierge de l’Espérance!

Le soir, c’est le prédicateur du mois de Marie, l’abbé Godefroy - le R.P. Denis, de l’Ordre des Capucins, que des lois récentes ont obligé à rentrer dans le clergé séculier - qui va chanter une dernière fois les gloires de la Vierge dans sa chapelle d’hier, basilique d’aujourd’hui qui, à l’intérieur comme au dehors, resplendit de mille feux.

L’Archiconfrérie et le sanctuaire de Notre-Dame d’Espérance durent leur développement aux encouragements des évêques qui se sont succédés sur le siège de Saint-Brieuc. Après Mgr Le Mée qui fut à l’origine de l‘œuvre, vint Mgr Martial dont le premier geste, après sa prise de possession, fut de venir mettre son épiscopat sous la protection de Notre-Dame d’Espéranee, le 8 décembre 1858.

Mgr David était à peine installé qu'il sollicite pour Notre-Dame d’Espérance les honneurs de la couronne d’or. Il préside, en 1865, les grandioses cérémonies du Couronnement. Il donne son assentiment au vœu du 17 janvier 1871 et la Vierge aux Etoiles répond par son sourire dans le ciel de Pontmain. Le 15 août suivant, il eut la joie de bénir la Bannière votive. En 1873, il préside, avec de nombreux prélats, au grand pèlerinage du 25° anniversaire qui groupe 40000 fidèles aux pieds de la Madone. En 1874, il prend la tête de la première caravane pour Lourdes. Son successeur, Mgr Bouché, originaire de Rostrenen, avait une grande dévotion envers la Très Sainte Vierge qu’il avait figurée dans ses armes.

En 1890, Mgr Fallières voulut célébrer la Messe, à l’autel de Notre-Dame d‘Espérance, au lendemain de son arrivée dans la ville épiscopale. En 1898, l’année du 50ème anniversaire de la fondation, il procède à la consécration de la chapelle et, en 1902, il postule l‘érection en basilique qui est accordée par Léon XIII au mois de décembre de la même année.

Mgr Morelle aimait à présider les pardons et à prendre la parole aux solennités mariales. Il vint, lui-même. prononcer le v
œu pendant la première guerre mondiale le 2 février 1915. Et au mois de septembre 1920. il eut la joie de présider le grand pèlerinage d‘actions de grâces où fut offert, à Notre-Dame, l’Ostensoir du Vœu.

En 1923, S.E.Mgr Serrand prenait possession du siège épiscopal de Saint-Brieuc. Pour marquer sa dévotion et sa confiance envers Notre-Dame d’Espérance, il voulut que son image fut gravée sur son sceau. Il fit sa première visite officielle pour la fête du Rosaire et n'a pas cessé d’encourager la dévotion envers Notre-Dame. En juin 1940, en mars 1943 et juin 1944 il vint à la Basilique pour le Vœu de la deuxième guerre mondiale et la Consécration de la France au Cœur Immaculé de Marie. Le 22 juin 1947, il préside, assisté de S.E.Mgr Coupel, à l’0ffrande du Reliquaire de Procession, à Notre-Dame d’Espérance, au cours d’une grande manifestation d’action de grâces.

Avec les bénédictions et les faveurs obtenues des Souverams Pontifes, nul doute que les encouragements des Evêques de Saint-Brieuc n’aient eu une influence décisive sur l'extension du culte de Notre-Dame d’Espérance. Cette dévotion donne un caractère marial à la piété de la ville épiscopale.

Au dates marquantes du siècle marial, dont nous avons noté l‘importance, ajoutons encore celles-ci:
- L’organisation de journées de prières, le 18 janvier 1849 lorsque le choléra, éclatant à Paris, déborda la capitale et menaça de s’étendre à la province.

- A la Chandeleur 1852, une nouvelle cérémonie: celle des petits enfants dont le gracieux cortège escortant l’Enfant-Jésus, retiré de la crèche, clôt le mois noëliste.

- La remise au chanoine Prud’homme, le 1er avril 1853, par M.le vicaire général Paquert, d’une parcelle du voile de la Vierge, donné en 876 par Charles le Chauve, à l’insigne basilique de Chartres.

- En 1859, la croisade de prière pour la paix, lors de la guerre d’Italie.

- La première fête de Sainte Cécile célébrée en 1860, à la demande de la Société Philharmonique.

- Des prières publiques récitées à la chapelle lorsque le choléra, ayant fait encore son apparition à Saint-Brieuc, en octobre 1866, atteignit très vite 80 malades: le fléau stoppa.


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